
Partir en période de fêtes, loin de nos familles, pose naturellement la question de la raison de ce choix: Qu’est-ce qui nous pousse à privilégier des projets humanitaires plutôt que prendre du repos pour les fêtes de fin d’année ? La réponse est devenue limpide le soir de Noël avec nos amis burkinabais:
Dans un contexte de récents attentats à Berlin ou Ouga l’année passée, de radicalisation des discours, de cohabitation difficile entre religions, aller fêter Noël avec Assane (parrain de l’association) de confession musulmane, chez des amis chrétiens, annihile toutes vélités de généralisation simpliste.
Un vrai message de paix et de tolérance.
Florian Ozainne
